Il s’agit de la poursuite d’une histoire déjà longue.
Naguère, j’ai consacré une part de ma vie active à la communication professionnelle. Plus précisément, à la communication institutionnelle pour une profession réglementée, dont les membres pris individuellement, étaient interdits de faire valoir leur savoir-faire dans les médias.
Avec une presse écrite locale qui était beaucoup plus étoffée = 6 titres alors, ramenés à 3, aujourd’hui.
Mais aussi, ponctuellement, avec des radios locales nées au début des années 80 ( C’était – déjà – une belle aventure ). C’est donc, naturellement, que j’ai saisi l’opportunité de rejoindre RGC, à partir de 2010, après mon départ à la retraite.
Durant les 5 premières années, ce fût la Voix des notaires, illustrée par des entretiens avec un notaire en exercice sur des sujets rattachés au droit de la famille, de l’immobilier et de l’entreprise. Puis ensuite, Tournepages, pour évoquer surtout des essais et Histoire d’en savoir plus, pour converser, notamment, avec des professionnels, des responsables d’association ou de collectivité – toujours en activité ou non – afin d’en révéler les talents et souligner ce qu’ils apportent ou ce qu’ils ont apporté à la société.
J’estime que la radio est un support authentique de communication, dans la mesure où la voix n’est pas polluée par l’image. Sa proximité avec l’auditeur n’en étant que plus préservée.
A mon point de vue, la Radio reste un média d’avenir, comme participant au maintien du lien social. Et je suis convaincu qu’elle le restera, dans la mesure où elle s’approprie les nouvelles technologies. Avec le site internet, l’auditoire s’élargit et RGC prend une toute autre dimension.