Ah je respire enfin !
Nous avions, en d’autres temps, déjà parlé des trois autres éléments : l’eau, la terre, le feu, oubliant le quatrième pour des raisons qu’il serait trop long d’expliquer.
Autrement dit, l’air est venu jusqu’à nous, poussé par le vent qui en est l’auxiliaire principal.
Ainsi, l’air soufflera à tous les étages, nous poursuivrons notre quête d’auteurs oubliés en remontant à la surface, à l’air libre, les beaux poèmes de Jean Baptiste Chassignet ; nous invoquerons le jeu de trompette, de bombarde, du grand swingueur de la langue française, Rabelais en personne ; nous tenterons enfin une métaphore osée sur le rapport entre une cure menée à son terme et la circulation possible de l’air dans toutes les pièces de notre maison psychique. Toujours, comme les trois autres, Gaston Bachelard fera office de guide.
Alors, une dernière rasade d’air frais, et bon vent!