Flaubert en pantoufles
Eric Godichaud
Semaine du 14 au 20 octobre 2019
Ce mois-ci, Flaubert nous ouvre les portes de sa maison à Croisset . Nous suivrons le maître jusqu’à son bureau où trône le fameux perroquet amazone.
Ce perroquet est comme la métaphore de la bêtise humaine, dénonciation de ce qui est répétitif dans le langage, dégradé par l’utilisation de clichés. La bêtise, c’est aussi l’humiliation que subit Charles Bovary, au début du roman, parce qu’il est nouveau. D’un coeur simple à Bouvard et Pécuchet, de la bêtise à ce qui fonde la psychanalyse, de la rêverie poétique à la lourdeur du monde, nous vous invitons avec Flaubert dans les méandres, les reflets, la splendeur de ses phrases.
Ce perroquet est comme la métaphore de la bêtise humaine, dénonciation de ce qui est répétitif dans le langage, dégradé par l’utilisation de clichés. La bêtise, c’est aussi l’humiliation que subit Charles Bovary, au début du roman, parce qu’il est nouveau. D’un coeur simple à Bouvard et Pécuchet, de la bêtise à ce qui fonde la psychanalyse, de la rêverie poétique à la lourdeur du monde, nous vous invitons avec Flaubert dans les méandres, les reflets, la splendeur de ses phrases.

-Ouverture du « voyage à Reims » de Rossini
-Scène finale de « La belle Hélène » d’Offenbach
-Requiem de Duruflé
et la participation exceptionnelle du perroquet Coco.
et la participation exceptionnelle du perroquet Coco.
Ouvrages à lire:
Un coeur simple, dans trois contes
Madame Bovary
-Bouvard et Pécuchet