Il est urgent de prendre soin de la fragilité des peuples et des personnes au lieu d’accepter la « culture du déchet », de l’exclusion sociale. La faim est un scandale et nous devons amplifier nos efforts de tolérance, de coexistence, de paix. Plus que se fier à l’audimat, le responsable politique doit se demander quelle paix sociale il a semée, quelles forces positives il a libérées.