Contredisant le fameux proverbe « Il n’y a pas de fumée sans feu! », pour une fois le feu se dissipera, pour mettre au premier plan sa « fumée » si difficile à saisir, peu traitée par les poètes et les écrivains.
Le territoire qu’elle occupe est pourtant vaste, plein de surprises: de la fumée d’un fagot dans un jardin, au nuage vu d’avion, du « sfumato » inventé par Léonard de Vinci, au cigare de Freud, de l’usage de la pipe, à ‘une métaphore filée entre les charbonniers et l’Ecriture, de l’encens jusqu’aux rois mages apportant avec eux les parfums d’orient, de la fumée blanche qui annonce un nouveau pape, au papier d’Arménie…
Avec Théophile Gautier, Mallarmé, Sigmund Freud et Jean Demeys, nous vous invitons une fois de plus dans notre palais des mirages.
-poème pour violon et orchestre, Ernest Chausson
-Sur les flots lointains, de Charles Koechlin
-Cathédrale engloutie, de Claude Debussy
-« je ne veux pas travailler »
-« lle paradis blanc », Michel Berger
-« Fumée aux yeux » d’Eliane Embrun
-documentaire « Pompier, pédagogie fumée »
-Fumée, de Théophile Gautier
-Hommage, de Stéphane Mallarmé
-Hypnose, de Jean Demeys, tiré de « Célébration de la pipe ».