Franz Olivier Giesbert, dans son ouvrage intitulé « L’animal est une personne – Pour nos soeurs et frères les bêtes », publié chez Fayard, dénonce avec vigueur, le sort atroce réservé dans les abattoirs aux « bêtes à manger, machines à fabriquer de la viande« , alors que nous traitons, avec tant d’égards, nos animaux de compagnie. Appelant, notamment, à ce que cesse le scandale des abattages rituels halal et casher « qui imposent à nos sœurs et frères lesbêtes, des mises à mort dans d’inutiles souffrances » (avec égorgements sans étourdissement préalable).
Mettant, de surcroît, en péril la Santé publique (« Qui tue mal, mangera mal« ) Est-ce, comme le précise, benoîtement, l’auteur, le « syndrôme d’une Société fatiguée, qui ne croit plus en rien, ni en ses valeurs ni en elle-même » ?
Ou tout simplement, l’une des innombrables conséquences de la transition démographique majeure que nous vivons, depuis une cinquantaine d’années, conduisant, inéluctablement, à une transition civilisationnelle?
Ceci expliquant cela.
Une émission réalisée par Simon MARTIN et proposée par Pierre-Alain BESNARD