Drouais depuis toujours, il a fourni vélos et mobylettes durant les trente glorieuses. Disparu au début de cette année, retrouvons-le en 2013 lorsqu’il racontait son engagement dans la 2e DB du général Leclerc en 1944. Au micro de son ancienne voisine, Raymonde, c’était avec pudeur mais non sans fierté. Merci, Louis Kilbourg, pour la liberté retrouvée.