Depuis que l’humanité est structurée en « civilisation » les humains ( et surtout les hommes) ont éprouvé le besoin de se bagarrer.
Pour des terres, des filles, des biens, des idées, au nom de leur croyance, pour convertir l’autre…
Comme l’humain est malin, du moins le croit il, il habille son désir d’expansion , de vengeance, de destruction, sous le noble concept de « l’art de la guerre ».
Clausewitz et Sun Tzu lui servent de théoriciens.
Mais pour se battre il faut des guerriers, des prêts à tuer au nom d’une cause.
C’est leur « métier ».
Plus compliqué sont les choses quand il s’agit de la vengeance privée qui pendant longtemps est restée l’apanage de particuliers , de leur famille, du clan.
Quand vint l’étatisation de cette vengeance, l’Etat a pris le relais.
Oui mais….qui fera le sale boulot ?
Tuer au nom de l’Ordre Public nécessite qu’on désigne celui ou celle qui aura l’usage du droit de tuer.
Examinons aujourd’hui ce que sont les exécuteurs publics ,et penchons nous sur les histoires récentes de nos derniers bourreaux.
Contentons nous de notre histoire de France .
Entre les grandes familles d’exécuteurs que sont les Sanson et les Deibler… y a de quoi faire…
L’audience est ouverte , attention à vôtre tête.
Chanson: Bobby Lapointe : « sentimental bourreau »