Semaine 17
Ecoutez le podcast (30 min)
Un hymne célébrant la gloire de Dieu dans le Cosmos et un éloge du don de la loi à Israël.
Du maître de chant. Psaume. De David.
Les cieux racontent la gloire de Dieu, et l’œuvre de ses mains, le firmament l’annonce;
le jour au jour en publie le récit et la nuit à la nuit transmet la connaissance.
Non point récit, non point langage, nulle voix qu’on puisse entendre,
mais pour toute la terre en ressortent les lignes et les mots jusqu’aux limites du monde. Là-haut, pour le soleil il dressa une tente,
et lui, comme un époux qui sort de son pavillon, se réjouit, vaillant, de courir sa carrière.
A la limite des cieux il a son lever et sa course atteint à l’autre limite, à sa chaleur rien n’est caché.
La loi de Yahvé est parfaite, réconfort pour l’âme; le témoignage de Yahvé est véridique, sagesse du simple.
Les préceptes de Yahvé sont droits, joie pour le cœur; le commandement de Yahvé est limpide, lumière des yeux.
La crainte de Yahvé est pure, immuable à jamais; les jugements de Yahvé sont vérité, équitables toujours,
désirables plus que l’or, que l’or le plus fin; ses paroles sont douces plus que le miel, que le suc des rayons.
Aussi ton serviteur s’en pénètre, les observer est grand profit.
Mais qui s’avise de ses faux pas? Purifie-moi du mal caché.
Préserve aussi ton serviteur de l’orgueil, qu’il n’ait sur moi nul empire! Alors je serai irréprochable et pur du grand péché.
Agrée les paroles de ma bouche et le murmure de mon cœur, sans trêve devant toi, Yahvé, mon rocher, mon rédempteur !